N'oublie pas d'être Heureuse
Hier matin j'ai regardé l'émission Thé ou Café de Catherine Ceilac qui recevait Christine ORBAN.
Ce fût une découverte, un coup de coeur.
Je n'ai lu aucun de ses livres, mais découvert une personne.
J'ai hâte de me plonger dans un de ses romans car je crois que je vais me plaire dans ses écrits.
Son dernier livre :

"N'oublie pas d'être heureuse"
Ce fût une découverte, un coup de coeur.
Je n'ai lu aucun de ses livres, mais découvert une personne.
J'ai hâte de me plonger dans un de ses romans car je crois que je vais me plaire dans ses écrits.
Son dernier livre :


"N'oublie pas d'être heureuse"
« Ma mère disait : N’oublie pas ton chapeau. Mon père disait : N’oublie pas d’être heureuse… »
La cousine de la mère de Marie-Lila, Fifi, disait que le nirvana n’était envisageable
qu’à condition « d’être mince et d’habiter Paris »… Habiter Paris, c’était quitter le Maroc et devenir « snob ».
Grâce à Fifi la Parisienne dont les visites bouleversent leur vie paisible, le mot acquiert beaucoup d’importance dans la famille de Marie-Lila. Pour la jeune fille, c’est la certitude qu’une autre vie existe que celle menée à Fédala, au bord de l’océan, où elle ne connait que la plage, des parents attentifs et une amie d’enfance qui est son alter ego.
Après le bac, Marie-Lila rejoint Fifi à Paris pour faire des études de droit. La rencontre d’un jeune aristocrate lui ouvre les portes d’un autre monde. Elle découvre alors les codes et les préjugés d’une caste dont elle ignore tout. Temps des désillusions, fin d’une jeunesse libre et heureuse dont elle ne savait pas qu’elle l’était…
Un roman singulier et attachant où l’auteur a mis beaucoup d’elle-même mais où beaucoup se retrouveront. A mi-chemin de « L’Ame-sœur et de Fringues ». Un récit en deux temps, celui du bonheur simple et celui du déracinement, des désillusions et de la quête de soi, empreint de tendresse et de sagesse, de mélancolie et de lucidité.
Il y a aussi : Le silence des Hommes,
Petites phrases pour traverser la Vie en cas de tempête...ou par beau temps aussi.
La cousine de la mère de Marie-Lila, Fifi, disait que le nirvana n’était envisageable
qu’à condition « d’être mince et d’habiter Paris »… Habiter Paris, c’était quitter le Maroc et devenir « snob ».
Grâce à Fifi la Parisienne dont les visites bouleversent leur vie paisible, le mot acquiert beaucoup d’importance dans la famille de Marie-Lila. Pour la jeune fille, c’est la certitude qu’une autre vie existe que celle menée à Fédala, au bord de l’océan, où elle ne connait que la plage, des parents attentifs et une amie d’enfance qui est son alter ego.
Après le bac, Marie-Lila rejoint Fifi à Paris pour faire des études de droit. La rencontre d’un jeune aristocrate lui ouvre les portes d’un autre monde. Elle découvre alors les codes et les préjugés d’une caste dont elle ignore tout. Temps des désillusions, fin d’une jeunesse libre et heureuse dont elle ne savait pas qu’elle l’était…
Un roman singulier et attachant où l’auteur a mis beaucoup d’elle-même mais où beaucoup se retrouveront. A mi-chemin de « L’Ame-sœur et de Fringues ». Un récit en deux temps, celui du bonheur simple et celui du déracinement, des désillusions et de la quête de soi, empreint de tendresse et de sagesse, de mélancolie et de lucidité.
Il y a aussi : Le silence des Hommes,
Petites phrases pour traverser la Vie en cas de tempête...ou par beau temps aussi.
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